« Modeste fonctionnaire de la municipalité de Nottingham, Peter Williams mène une vie fade et sans passion.
Sa vie tout entière va basculer le jour où une jeune femme qu’il côtoie tous les jours (sans lui adresser la parole) dans le bus perd son journal intime. Peter s’en empare et, dès lors, la vie de Sophie n’a plus de secrets pour lui.
Le jour même, la propriétaire du cahier disparaît et la police commence son enquête. »
Mais qu’ont-ils tous ces gens à jouer les fouilles merde en se mêlant de ce qui ne les regarde pas ? D’autant que ça finit par leur retomber sur le nez.
Une vie fade et sans passion, je me suis ennuyée. Celle de Sophie n’est pas mieux. Tous deux ont en commun de ne jamais savoir quoi faire, de prendre de grandes décisions et de faire le contraire ou de choisir la fuite.
Sa vie chamboulée avec toutes ces fausses pistes devient complètement paranoïaque. Comment connaître la vérité s’il en change toutes les 10 pages ? Je n’ai même pas compris la fin.
Bien évidemment : « Un premier roman étonnamment maîtrisé, salué par la critique d’outre-Manche, qui marque la naissance d’un nouveau talent : C. L. n’a pas encore 30 ans, mais à l’évidence, un brillant avenir devant elle. » Dans le fouilli ».
Encore un auteur A N P L (à ne pas lire)
Qu’est-ce que j’ingurgite sous prétexte que l’été est chaud et le neurone en bouillie !
La Martine anesthésiée
LITTLEFORD Claire
Sang d’encre, 2003 (2003), 292 p
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