Du même auteur, j’avais lu l’an dernier L’amour et les forêts, qui m’avait épaté.
On y trouve déjà le brillant styliste et les connaissances encyclopédiques de ce jeune cinquantenaire.
Ce roman foisonnant ne se raconte pas.
Les personnages masculins sont des avatars de l’auteur, qui se met également en scène.
Il y parle de littérature (bien sûr), de poésie, d’amour, de danse classique, de décadence, d’économie de marché
(sa description de jeunes traders comme Jérome Kerviel est prémonitoire).
Et Cendrillon? C’est lui et sa femme Margot qu’il idolâtre encore après 20 ans de mariage.
Reinhardt est à l’aise partout, il n’a pas encore écrit son dernier mot…
Guy
Eric Reinhardt – 2007- Poche – 632 p.
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