Le secrétaire italien

« Sherlock Holmes est de retour !

Il reçoit un télégramme de son frère Mycroft, l’appelant à l’aide ».

Avec le Dr Watson, ils prennent le train pour l’Écosse. et moi celui du sommeil à la page 60. Au lit à 21 h 30, il y a longtemps que cela ne m’était pas arrivé ! Au moins, je n’ai pas perdu mon temps (si, une soirée, mais bon…). Me forcer à lire un livre qui ne m’intéresse pas ne serait pas une façon d’éviter l’échec, mais de plonger dans le masochisme.

Ce genre de polars, comme ceux de la Higgins Clark m’ennuie à dormir debout.

C’est simplet, pompeux, archaïque avec des énigmes codées de ficelles niaises et, le tout, dans un jargon tellement politiquement correct que j’ai eu du mal à suivre.

L’avantage de ces polars à l’eau de rose, c’est que l’on ne fait pas de cauchemar. Il n’y a aucune action, aucun suspense, que du blabla insipide.

Je crois, en plus, que je n’ai aucun atome crochu avec ces fadaises chics du XIXe siècle.

Entre le thriller juteux et ÇA, heureusement qu’il y a autre chose.

La Martine en rogne.
CARR Caleb

Le secrétaire italien

Feryane, 2007 (2005), 382 p.

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