Quand je ne trouve pas les mots pour le dire, je copie la 4e de couve.
» À sept ans, Édouard écrit son premier poème, quatre rimes pauvres qui vont le porter aux nues et faire de lui l’écrivain de la famille. Mais le destin que les autres vous choisissent n’est jamais tout à fait le bon…
Avec grâce et délicatesses, Grégoire Delacourt nous conte une histoire simple, familiale, drôle et bouleversante. »
« Un texte délicat, écrit sourire en coin… l’auteur dit la difficulté de s’extirper des rêves que les autres on formulés pour vous, d’échapper à l’identité qu’ils vous ont assignée. Ça ne l’empêchera pas de devenir écrivain. Mais en cessant de laisser la vie et les autres décider à sa place.
R. Leyris, le Monde des livres. »
Ce livre est plus personnel que « la liste de mes envies ». C’est son tout premier livre où il a mis beaucoup de lui-même, sans détour, sans critique pour ses proches, juste leur difficulté à vivre et l’amour qui les unit.
Un livre poignant.
Par contre, si l’auteur a enfin réussi à « apprendre » à écrire, il semble qu’il n’ait pas appris à éviter les procès, les pensions alimentaires et autres dommages et intérêts y afférant. Voir son dernier roman ; « La première chose qu’on regarde. » Sera-ce un destin imposé par les autres ???
Si l’auteur vire à la plampougnette people, je crois que je ne lirai pas la suite…
La Martine qui n’aurait pas dû aller sur Google.
DELACOURT Grégoire Poche, 2012 (Lattès 2011), 235 p.
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