L’heure trouble

« À l’heure trouble (crépuscule), un enfant disparaît sans laisser de trace dans les brouillards d’une petite île de la Baltique. Vingt ans plus tard, une de ses chaussures est mystérieusement adressée à son grand-père. Qui a intérêt à relancer l’affaire ? Pourquoi toutes les pistes mènent-elles à un criminel mort il y a longtemps ?
Dans une oppressante (bof !) atmosphère de huis clos, une étrange histoire de deuil, d’oubli et de pardon, hantée par les ombres du passé. »
Un polar qui se laisse très bien lire. Rien d’exceptionnel, mais une enquête qui se tient. Des liens familiaux qui se renforcent. Un papi étonnamment téméraire malgré ses rhumatismes. Une mère qui avait besoin que l’on remue tout ça pour faire son deuil. Un dénouement surprenant d’autant plus que c’est la deuxième fois que je le lis et que je ne me rappelais plus la fin. Certains passages me disaient bien quelque chose, mais il y a tellement de copier/coller dans les livres qu’ils finissent tous par se ressembler.
J’avais lu ce livre en juillet 2011. Merci Alzheimer !
L’auteur semble amoureux de l’île d’Öland. C’est le deuxième livre que je lis de lui et chaque fois l’action se passe dans des îles aux noms inventés.
La Martine troublée.
THEORIN Johan Albin Michel, 2009 (2007), 422 p.

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