« La Société des jeunes Pianistes, c’est le nom que s’est donné un groupe d’adolescents passionnés, à Oslo, à la fin des années 1960. À la fois amis et rivaux, ils ont en commun l’amour de la musique ; pourtant, un seul remportera le concours du « jeune Maestro ». Tous vont subir une terrible pression de leur entourage, mais surtout d’eux-mêmes. C’est un roman initiatique, grave et subtil qui évoque le désir, la vie, la mort. »
« Un drame familial, un roman sur la musique et un portrait captivant des amours et des obsessions d’un jeune homme. »
Aksel, le narrateur, nous parle de sa famille et de leurs problèmes de communication. En même temps il nous fait part de ses questionnements, ses angoisses, ses amours impossibles, ses rêves trop grands, ses espoirs de pianiste « virtuose qui n’a pas de chance ». C’est surtout un adolescent qui se cherche et commet quelques erreurs, un jeune homme instable qui n’arrive pas à se concentrer sur LA musique. Car le plus gros du livre est consacré à la musique classique, le piano, les performances stylistiques, la manière de concevoir son jeu, etc. C’est d’ailleurs pour cela que j’avais choisi ce livre. J’ai eu la surprise d’avoir, aussi, les problèmes d’adolescents « hors-norme ».
Tout m’a paru intéressant sauf le mélo final, mais c’était le prix à payer pour qu’Aksel se retrouve libre.
Bjornstad, auteur, compositeur et musicien, a été découvert à l’âge de 14 ans lorsqu’il a gagné le Grand Concours des Jeunes Pianistes, à Oslo.
Ceci explique, peut être cela ; l’instabilité d’Aksel.
Martine
BJORNSTAD Ketil
Poche, 2008 (2004), 443 p.
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