On lit à la page 61 ‘Où l’on vient enfin à la première des scènes pour lesquelles tu as acheté ce livre, cher et hypocrite lecteur’. Il déclarait à la première page ‘Je n’ai rien contre les catholiques. Au contraire’.
Il présente son opuscule (non, ce n’est pas un gros mot) comme une réaction contre une pensée totalitaire qui asservit les humains. En foi de quoi il séduit tout ce qui porte une jupe et/ou une petite culotte.
Son pèlerinage tient du marathon sexuel.
C’est totalement et volontairement amoral et irrespectueux et par moments hilarant.
Ces dames et demoiselles en ont, si j’ose dire, sous la pédale.
J’ai une affection particulière pour Muriel, abandonnée par son vétérinaire de mari, qui retrouve Étienne à Bazas.
Elle arrive à lui faire promettre de faire le pèlerinage ‘pour de vrai’. Nom de dieu, c’est lui qui l’écrit.
Un livre à ne pas mettre entre toutes les mains. Quoi que…
Amitiés fricoteuses,
Guy.
Etiennne Liebig – La Musardine – 224 p.
Rejoignez Azimut sur Facebook en cliquant ici et soyez prévenu de toute nouvelle publication.